Piloter, gérer la VOA, la demi-efficacité, le treuil, les décrochages, les auto-rotations, les vents de travers, la finesse 10,
la PTL, "tout va bien Raoul", le CRIS, les badins fous, les varios pas
nets, la symétrie, la sécurité et le circuit visuel, les virages à
grande inclinaison, le point d'aboutissement, l'arrondi, la dérive, le
facteur de charge, la casse câble... etc, etc... puis, tout d'un coup...
le vol à voile !
Et rien à voir rien à voir. Voilà le truc. Le vol à voile.
Rester
en l'air, enrouler la pompe et tenter le diable à l'Est sans être à
l'ouest. Mais c'est donc cela l’intérêt des volants, se balader,
baguenauder le long des paysages traversés, apprendre à sentir ce qui
fait les possibilités et la liberté d'aller et de revenir. Le vol à voile, et enfin se sentir comme sur un coussin d'air.
aa
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